Ah ! Comme il fait bon vivre sans boss sur le dos !
Vous êtes nombreux à rester travailler pendant que les collègues sont en congés. Des bureaux vides: une ambiance maussade pour certains, particulièrement s’ils ressentent le besoin de vacances.
Toutefois, il arrive également que vous soyez volontairement présents au bureau justement parce qu’ils sont (enfin) déserts. Parce que le désert est synonyme de silence pour vous. Une atmosphère particulièrement prisée par les salariés dont les missions nécessitent de se concentrer. Permettez-moi alors de nuancer légèrement le célèbre proverbe: « Quand le chef est absent, les salariés se détendent ». Voilà tout.
A défaut d’être en congés, vous bénéficiez d’une meilleure qualité de travail.
Oui, et alors ? Voici les conséquences positives de l’absence du responsable sur ses subalternes :
- Salariés détendus, souriants, agréables: l’occasion de créer du lien
- Meilleur relationnel avec les collègues, les clients, les fournisseurs: plus opportun pour les affaires, non ?
- Salariés moins dérangés, plus concentrés
- Personnels plus créatifs
- Esprit critique plus développé.
En sommes, des salariés finalement plus efficaces dans leur fonction, grâce au calme.
Alors, il est certes probable que la détente des collaborateurs occasionne davantage d’échanges, rallonge quelque peu les pauses café, voire les pauses déjeuner…
Bon. Mais en quoi est-ce gênant puisque ce bien-être génère à son tour une meilleure efficacité des équipes à leurs postes ? Parce que, rappelons-le tout de même: durant l’absence des uns, il y a plus de boulot pour les autres !
Vous craigniez néanmoins qu’il y ait de l’abus ? Et bien, n’avez-vous pas justement les outils de management pour le mesurer ? Je vous propose de tester. Car il y a fort à parier que globalement, il s’agisse d’un contrat gagnant/gagnant.
Ma suggestion de coach professionnel:
Chers employeurs, et si prendre le large de temps en temps devenait un de vos outils de management conscient ?
